
Les sept mois de la gouvernance Talon
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La pression de la classe politique manque pour pousser vers l’avant. Ce n’est pas normal…
Ecrivain, Directeur artistique, formateur, metteur en scène et soutien politique des premières heures du chantre du Nouveau départ Patrice Talon…Plusieurs casquettes sur la tête bien pleine et bien faite d’Ousmane Alédji qui, après moult hésitations, a fini par céder à la tentation de se confier. Dans la matinée du jeudi 17 novembre 2016 au centre artisttik Africa où il reçoit l’équipe de journalistes de Fraternité entre les quatre murs de son bureau exquisément décoré à la hauteur de sa réputation, Ousmane Alédji ne cache pas ses inquiétudes, insatisfactions, frustrations après sept mois de gouvernance Talon. De sa fluette voix, il se prononce sur l’Affaire Ajavon, la morosité économique, les propos du chef de l’Etat à Parakou, la gestion de la chose culturelle, le Programme d’action du gouvernement (Pag) et veut bien croire que la classe politique prendra ses responsabilités et aidera le régime en place à trouver la meilleure méthode pour aller de l’avant. Entretien.